Le lundi19 juin, nous devions retrouver à Lesconil, La Désirade et Jad en provenance de Port la Forêt, Bagam de la Trinité et Pêcheur de rêves de Conleau.
Les 4 bateaux sont au rendez-vous.
Un traditionnel pot sur le ponton et un dîner tous ensemble à la cantine (restaurant sur le port) .
Un traditionnel pot sur le ponton et un dîner tous ensemble à la cantine (restaurant sur le port) .
On passera une soirée sympa tous très contents de se retrouver.
Mardi 20 Lesconil/Sainte-Evette.
Départ à 7h au moteur, sans vent, dans le brouillard, route vers Sainte-Evette où l’on doit retrouver Janaïna.
A Sainte-Evette, le traditionnel apéro du soir se fit sur " Baggam " le pauvre bateau a dû se demander ce qui lui arrivait " 11 personnes à bord, le verre à la main "
Mercredi 21 Sainte-Evette/Camaret ;
Départ 7h. Dans le brouillard au moteur (visibilité 50m), jusqu’au chenal du Toulinguet où l’on put de nouveau hisser les voiles pour arriver sur Camaret. (Pour cette étape lire les aventures de Michel pour en savoir plus).
Vendredi 23 le matin :
La remontée de l’Aber-Wrac’h et de l’Aber Benoit, si différentes… l’une austère, sauvage, encaissée, bordée de petites anses, où apparait à travers la brume un trois mats (Le Bel Espoir du Père Jaouen), caché comme au temps des corsaires,
l’autre plate couverte de grands bancs de sable, rayonnante, donnant l’impression d’un petit paradis. Les deux mettent à profit leurs longues berges pour étendre leurs parcs ostréicoles.
L’après-midi, on embarque de nouveau sur la vedette rapide pour la visite du phare de l’ile Vierge, le plus haut d’Europe. De sa tourelle la vue est magnifique, les photos prises en témoignent et je manque de mots pour les décrire. Il faut les monter ces 397 marches ! C’est un spectacle de voir se lancer ces escaladeurs à l’assaut de ce colimaçon. Les plus gaillards attaquent de pied ferme, les autres font des étapes régulièrement pour retrouver leur souffle.
La descente vaut aussi son pesant d’or, là ce n’est plus le souffle qui est en manque mais le craquement des genoux, l’arthrose de hanche, le mal de dos… qui vous rappellent que si le spectacle est sublime, pour le mériter il faut payer de sa personne. Avant de reprendre le bateau les quelques minutes sur l’Ile au milieu de cette nature si belle sont un moment de bonheur.
Pendant le trajet un petit détour au milieu des rochers nous permit de contempler des phoques gris en pleine sieste.
Samedi 24 Journée calme avec pour midi un déjeuner commun sous forme « d’huitres partie ». Une caisse de 31 douzaines d’huitres n°3, de quoi permettre aux débutants de se lancer dans la bagarre avec des coquilles réfractaires qui ne veulent pas se laisser faire et aux initiés de s’en donner à cœur joie. Une belle tablée dans la salle de l’UCPA de l’Aber-Wrac’h, huitres et vin firent leurs effets et les chants marins finirent d’égayer notre chaleureuse assemblée.
Le soir, le traditionnel diner au restaurant "le Captain" clôtura nos 2 jours d’amitié.
Dimanche 25 Séparation des flottilles pour les uns vers le nord et pour les autres un objectif Camaret où l’on doit retrouver nos amis de l’ANPLF qui remontent de Port la Forêt pour dîner et passer la soirée ensemble, avant de reprendre chacun sa route.
La remontée de l’Aber-Wrac’h et de l’Aber Benoit, si différentes… l’une austère, sauvage, encaissée, bordée de petites anses, où apparait à travers la brume un trois mats (Le Bel Espoir du Père Jaouen), caché comme au temps des corsaires,
L’après-midi, on embarque de nouveau sur la vedette rapide pour la visite du phare de l’ile Vierge, le plus haut d’Europe. De sa tourelle la vue est magnifique, les photos prises en témoignent et je manque de mots pour les décrire. Il faut les monter ces 397 marches ! C’est un spectacle de voir se lancer ces escaladeurs à l’assaut de ce colimaçon. Les plus gaillards attaquent de pied ferme, les autres font des étapes régulièrement pour retrouver leur souffle.
La descente vaut aussi son pesant d’or, là ce n’est plus le souffle qui est en manque mais le craquement des genoux, l’arthrose de hanche, le mal de dos… qui vous rappellent que si le spectacle est sublime, pour le mériter il faut payer de sa personne. Avant de reprendre le bateau les quelques minutes sur l’Ile au milieu de cette nature si belle sont un moment de bonheur.
Pendant le trajet un petit détour au milieu des rochers nous permit de contempler des phoques gris en pleine sieste.
Samedi 24 Journée calme avec pour midi un déjeuner commun sous forme « d’huitres partie ». Une caisse de 31 douzaines d’huitres n°3, de quoi permettre aux débutants de se lancer dans la bagarre avec des coquilles réfractaires qui ne veulent pas se laisser faire et aux initiés de s’en donner à cœur joie. Une belle tablée dans la salle de l’UCPA de l’Aber-Wrac’h, huitres et vin firent leurs effets et les chants marins finirent d’égayer notre chaleureuse assemblée.
Dimanche 25 Séparation des flottilles pour les uns vers le nord et pour les autres un objectif Camaret où l’on doit retrouver nos amis de l’ANPLF qui remontent de Port la Forêt pour dîner et passer la soirée ensemble, avant de reprendre chacun sa route.
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Elle sont rares ces rencontres !... |
Merci à "Eol Ar Mor" pour la conception de sa carte postale
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